Archives de catégorie : PARTITIONS

FAURE – Allegro moderato pour deux violoncelles

Une jolie pièce écrite par Fauré

Duo:
https://s9.imslp.org/files/imglnks/usimg/d/dd/IMSLP656921-PMLP1053726-Faur%C3%A9_Cello_Duo_SCORE.pdf

Violoncelle 1
https://s9.imslp.org/files/imglnks/usimg/d/d0/IMSLP656922-PMLP1053726-Faur%C3%A9_Cello_Duo_Cello_1.pdf

Violoncelle 2
https://s9.imslp.org/files/imglnks/usimg/8/8b/IMSLP656923-PMLP1053726-Faur%C3%A9_Cello_Duo_Cello_2.pdf

VERDI – Va pensiero

Le célèbre choeur des esclaves « Va pensiero » fait partie de l’opéra Nabuccodonosor de Verdi

« Va, pensée, sur tes ailes dorées, Va, pose-toi sur les pentes, sur les collines, Où embaument, tièdes et suaves, Les douces brises du sol natal, Salue les rives du Jourdain, Les tours abattues de Sion, Oh ma patrie si belle et perdue, Ô souvenir si cher et funeste, Harpe d’or des devins fatidiques, Pourquoi, muette, pends-tu au saule ?, Rallume les souvenirs dans le cœur, Parle-nous du temps passé, Semblable au destin de Solime, Joue le son d’une cruelle lamentation, Ou bien que le Seigneur t’inspire une harmonie, Qui nous donne le courage de supporter nos souffrances… »

https://imslp.org/wiki/Nabucco_(Verdi,_Giuseppe)

VERDI – Di Provenza

Cet air est chanté dans l’acte 2 par Germont, le père d’Alfredo (qui vient de convaincre Violetta de se séparer d’Alfredo) à ce moment là il se retrouve alors seul avec son fils et il parle de son pays, la Provence.

https://youtu.be/PzSPHzgaZbY?t=109

Di Provenza il mar, il suol
chi dal cor ti cancellò?
Al natio fulgente sol
qual destino ti furò?
Oh, rammenta pur nel duol
ch’ivi gioia a te brillò;
e che pace colà sol
su te splendere ancor può.
Dio mi guidò!
Ah! il tuo vecchio genitor
tu non sai quanto soffrì.
Te lontano, di squallor
il suo tetto si coprì,
ma se alfin ti trovo ancor,
se in me speme non fallì,
se la voce dell’onor
in te appien non ammutì,
Dio m’esaudì!
Qui effaça de ton cœur,
la mer et le sol de Provence ?
Qui, de ton cœur, effaça la mémoire ?
Quel destin t’a soustrait
à l’ardent soleil natal ?
Dans la douleur même, souviens-toi que là-bas tu fus heureux.
Et que là-bas seulement tu retrouveras la paix.
Dieu m’a guidé.
Ah ! tu ignores combien a souffert ton vieux père,
Combien ton vieux père a souffert.
Toi parti, sa maison
fut plongée dans le chagrin,
et un voile de tristesse recouvrit son toit.
Mais si enfin je te retrouve,
si j’ai toujours gardé l’espoir,
si la voix de l’honneur te parle encore
Dieu m’a exaucé !

https://s9.imslp.org/files/imglnks/usimg/b/b1/IMSLP27471-PMLP16223-Traviata—act2-sc1-no10—Di_Provenza_il_mar—Germont-Alfredo.pdf